Alors que la guerre fait rage au loin, que son père n’en est toujours pas revenu et que sa mère a dû partir travailler au loin, Louise est confiée à son grand-père.
Et s’il passe pour un fou, à vivre loin de tout, au milieu des champs, à tenter de communiquer avec les oiseaux et à construire des machines farfelues, Louise décide qu’elle l’aime plutôt bien, son pépé Léon...
Outre les illustrations, pleine page, qui sont tout bonnement magnifiques, cet album est bourré de nostalgie et de poésie. S’il est question d’écologie et d’une guerre qui gronde au loin, l’histoire fleure aussi bon l’été, avec ce petit coin de paradis, plein de coquelicots et d’oiseaux, dans lequel vit Léon et qu’il va faire découvrir à sa petite fille.
Une pépite de poésie, une ode à la nature et à la transmission, et à l’importance de ce qui est vraiment essentiel.
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