En plus d'être un écrivain australien reconnu, Kenneth Cook fut aussi
engagé politiquement en tant que leader d'un parti contre la guerre du
Vietnam. Le vin de la colère divine, un roman écrit en 1968
basé sur des témoignages réels, dénonce les atrocités sans nom de la
guerre dans la jungle vietnamienne. Paradoxalement, Cook prend le point
de vue d'un jeune homme qu'il ne nomme pas. Profondément catholique et
patriote par tradition familiale, il se perd complètement dans ses
questionnements sans fin avachi au comptoir d'un bar de Bangkok. Le
roman égraine les souvenirs douloureux du jeune soldat.
Engagé volontairement dans ce qu'il croit être un combat pour la liberté dont l'ennemi ultime est le communisme, autrement dit les Viêt-Cong, il perd peu à peu ses illusions. L'ennemi, selon le protagoniste principal, essaye de "changer un style de vie élaboré depuis des années par les occidentaux". L'auteur nous emmène au plus près de l'horreur, en nous plongeant au cœur des traumatismes du jeune protagoniste causés par les pertes humaines. Il pose également la difficulté d'affronter des Viêt-Cong en surnombre, malgré une technologie de pointe.
Sans entrer dans un manichéisme facile, l'auteur interroge les limites de l'engagement au nom d'un idéal. Cook n'épargne personne, catholiques, communistes, occidentaux et orientaux.
Engagé volontairement dans ce qu'il croit être un combat pour la liberté dont l'ennemi ultime est le communisme, autrement dit les Viêt-Cong, il perd peu à peu ses illusions. L'ennemi, selon le protagoniste principal, essaye de "changer un style de vie élaboré depuis des années par les occidentaux". L'auteur nous emmène au plus près de l'horreur, en nous plongeant au cœur des traumatismes du jeune protagoniste causés par les pertes humaines. Il pose également la difficulté d'affronter des Viêt-Cong en surnombre, malgré une technologie de pointe.
Sans entrer dans un manichéisme facile, l'auteur interroge les limites de l'engagement au nom d'un idéal. Cook n'épargne personne, catholiques, communistes, occidentaux et orientaux.
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